Les phares de Bretagne

28 août 2014

Les phares de Bretagne

Le Télégramme

Phare. Un patrimoine enfin protégé

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Tevennec. Apportez votre pierre au chantier!

Le Télégramme

Raid des phares. Ils l'ont fait !

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"Esprit des phares". Un projet breton

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Thévennec. Coups de balai et ravitaillement

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Phare de Tévennec. Une si longue attente!

Le phare du Grand Jardin (35)

Le phare du Grand Jardin est un phare en mer de la passe de Saint-Malo, dans l'estuaire de la Rance sur la Manche. Il a été classé monument historique par arrêté du 3 octobre 2012.

Sur la Pierre du Jardin près de l'île de Cézembre, la construction du phare du Grand Jardin a débuté en 1865. Sa forme, directement inspirée du 3^e phare d'Eddystone, est constituée d'une base évasée à profil concave.

Sur une période de vingt ans, cinq autres phares presque identiques ont été construits : les Baleineau (1854), les Barges (1861), la Banche (1864), la Pierre -de-Herpin (1882) et le Grand-Charpentier (1887).

Le phare du port de Roscoff

Il a été mis en service en 1934

Il est construit à 430 m en arrière du feu antérieur.

C'est une tour carrée pyramidale sur un soubassement carré tous deux en maçonnerie de pierres apparentes (granite), à côté d'un logement de gardien.

Automatisé depuis 2002, il est gardienné et visitable en été.

En 1880, feu fixe blanc sur un candélabre en fonte et cabane en tôle, à l'extrémité du môle nord.
En 1884, feu directionnel rouge sur cabane en tôle, près de l'abri du canot de sauvetage.

Comme la hauteur du feu est jugée insuffisante, il est prévu de construire une nouvelle tour plus élevée dès 1914. Mais les travaux sont suspendus à cause de la Première Guerre Mondiale et ne reprennent qu'en 1934.

Sa tour carrée pyramidale a une hauteur de 24,40 mètres au-dessus du sol et 26,10 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Son feu blanc, à 2 + 1 occultations 12s, a une portée de 15 milles (environ 27 kilomètres). Il est éclairé par une lampe halogène de 180 W.

Le phare de l'île de Batz

Une tour en pierres de taille de granite provenant de l'Île- Grande, dans les Côtes-d'Armor mesure 42,60 mètres et domine la mer à 71,50 mètres. La tour est cylindrique, centrée sur un soubassement carré de 14,80 mètres de côté en maçonnerie (doté à l’origine, d’un vestibule, d’une cuisine et d’un réfectoire, d’un cellier, d’un bûcher, de magasins, et de 5 chambres à l’usage des gardiens) ; ce soubassement comprend deux niveaux composés chacun de 8 pièces au plafond en voûte de pierre. La tour est surmontée d’un abri cylindrique en pierre maçonnée avec une lanterne métallique peinte en noir.

Un magnifique panorama récompense les visiteurs qui montent les 198 marches du phare (210 marches jusqu'à la lanterne) : l'île et le chenal, les Sept-Îles à l'est et l'Île Vierge à l'ouest, en passant par l'entrée de la baie de Morlaix et la silhouette des monts d'Arrée qui se dessine à l'horizon sud.

Le phare est électrifié en 1937, lorsque l’Île de Batz est enfin reliée au continent par un câble.

Le feu principal est blanc à quatre éclats groupés toutes les 25 secondes, l'optique tournante est de 0,30 mètre de focale et la lampe de 70 watts. La portée est de 23 milles soit 42,5 km. En 1962, un feu fixe rouge auxiliaire est installé en dessous du feu principal. Le phare est automatisé en juillet 1995 et n’est plus gardienné ni habité depuis le départ en retraite de son dernier gardien Jean-Jacques Violant.
Le phare est ouvert au public.

(Wikipédia)

Le phare de l'île de Batz vu de la plage de Peharidi

Le sémaphore de l'île de Batz vu de Roscoff

Le Télégramme

Ile de Batz. Phare et musée. Un projet de 400 000 euros

Ile de Batz. Le phare classé Monument historique

Patrimoine. La région au chevet des vieilles pierres

Le phare de l'île Noire, Baie de Morlaix

C'est une tour carrée blanchie vers le large avec une lanterne rouge, en pierres de taille de l'ïle Longue et moellons de l'île Stérec.

C'est une construction de 1845.

L'île Noire n'est qu'un simple rocher dénudé, où un phare a été érigé à son sommet.

Le phare de l'île Louët, Baie de Morlaix

Le phare de l'île Louët est une maison-phare située sur l'île Louët, à l'entrée de la baie de Morlaix dans le Finistère.

Ce phare se situe sur un piton rocheux à proximité du Château du Taureau

C'est une tour carrée blanche avec un haut noir, sur le pignon d'une maison d'habitation.

Il n'est plus gardienné depuis 1962, année de son automatisation.

C'est une construction de 1860.

Amer mur peint de la pointe de Pen al Lan à Carantec

Balise

Balise la Chambre, Baie de Morlaix

Le port du Diben à Plougasnou

Hauteur 5 m. Elévation 6m. Portée 7 milles.

Le phare de la Lande Carantec

Construction 1845. Hauteur 19,10 m. Elévation 87 m. Automatisation 1993

Le phare de la Lande est une maison-phare située sur les hauteurs du fond de la rade de Morlaix, sur la commune de Carantec.

Le Télégramme 28 Avril 2022

Et si le phare de la Lande, à Carantec devenait un lieu d'hébergement ?

Le phare de l'île Vierge à Landéda

Un phare unique en son genre

Le premier phare de l’île Vierge est bâti entre 1842 et 1845. Il est allumé pour la première fois le 15 août 1845, la même année que celui de l’île Wrac’h et le feu du clocher de Plouguerneau pour marquer l’entrée de l’Aber Wrac’h. Ce phare est très vite jugé obsolète car de portée insuffisante (18 milles) au regard de l’importance du trafic maritime à l’entrée de la Manche. Un

deuxième phare est construit entre 1897 et 1902 sur l’île, celui-ci a une portée de 27 milles (52 km) ; il est allumé pour la première fois le 1er mars 1902. Le phare, d’une hauteur de 82.50m est le plus haut d’Europe et l’un des plus remarquables de France. Il a été édifié afin d’augmenter le plus possible la portée géographique de l’éclat blanc du phare. De forme tronconique, la tour repose sur sol granitique. Le vide de la tour renferme un escalier suspendu de 397 marches. A l’intérieur, 12 500 plaques d’opaline bleu azur provenant directement des manufactures de Saint-Gobain l’habillent et le protègent de l’humidité. Tous les parements extérieurs, revêtus de bossage, escalier, bandeaux, consoles, corniches ont été exécutés en pierre de Kersanton. Cette roche de couleur gris-bleu, exploitée autour de Logonna, est réputée pour sa compacité et sa résistance. Sur l’île Vierge, les gardiens étaient chargés de surveiller une dizaine de feux situés entre le phare du Créac’h (Ouessant) et celui de l’île de Batz.

Source : Phares et Balises

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Le phare de la Jument.

Opération mercure « l’enfer » de Ouessant

Le phare de la Jument est situé à Ouessant, en mer d'Iroise. Il fut érigé entre 1904 et 1911 grâce au legs d'un membre de la Société de Géographie de Paris, Charles-Eugène Potron, sur le récif d'Ar Gazec.

Haut de 47m, le phare se signale par ses trois éclats rouges toutes les quinze secondes et sa sirène de brume. Sa portée est de 19 milles. Automatisé en juillet 1991, le phare est désormais télécommandé à partir du Créac'h.

Inscrit aux monuments historiques en 2015.

Le phare du Cap Fréhel

Le phare actuel, construit de 1946 à 1950 succède à 2 constructions plus anciennes implantées sur les mêmes lieux.

Hauteur 32,85 m. Elévation 85 m. Clé aux monuments historiques en 2011.

Le premier phare fut la Tour Vauban, construite en 1702.

Hauteur 15 m

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Cap Fréhel. Henri Richard dernier des gardiens de phare

Le phare des Perdrix à Loctudy (29)

D'abord signalé par une perche en bois en 1865, l'écueil des Perdrix est à partir de juin 1886 surmonté d'une balise conique rouge en maçonnerie avec un voyant sphérique de la même couleur. Malgré ces travaux de signalisation, la goélette Sainte-Louise-d'Auray chargée de 73 tonneaux de houille en provenance de Cardiff (pays de Galles) s'abîme sur la roche des Perdrix dans la nuit du 28 mai 1899. En 1913, l'administration prend la décision de remplacer cette simple tourelle aveugle par un feu permanent dont le plan focal se situe à 17,40 mètres au-dessus du niveau le plus bas de la mer. La mise au point du feu de la tourelle des Perdrix a lieu le 25 février 1915. L'installation de la lanterne est confiée à la société Luchaire de Paris. La tourelle est d'abord peinte en rouge, avant d'adopter en 1947 le damier noir et blanc, particularité unique en France.

(info Topic la tourelle de Perdrix)

Le phare d'Eckmühl (Penmarc'h 29)

Le phare d'Eckmühl est un phare maritime situé sur la pointe de Saint-Pierre, à Penmarc'h (29). Il mesure 65 mètres de haut.

Il a été inauguré le 17 octobre 1897.

Photos prises du Phare d'Eckmühl

Portée lumineuse: 45 km

Feu : durée de rotation de 5 secondes. Le phare fonctionne à l'électricité avec 2 lampes de haute performance de 70 watts. Depuis février 2008, les gardiens ont laissé la place à l'automatisation.

Il doit son nom à la riche marquise qui le fit construire en l'honneur de son père, prince d'Eckmühl

Nombre de marches: 307

Le phare du Four (Porspoder 29)

Le phare du Four ou phare du chenal du Four est un phare-donjon de France situé au large de la sauvage presqu'île Saint-Laurent sur la commune de Porspoder.

Ce phare est aussi connu sous le nom de phare du Four d'Argenton; il est bâti sur une roche de granite de 25 m de diamètre et d'une hauteur de 11,50 m. C'est un phare en mer, dit de jalonnement, dominant le chenal du Four, passage entre la Manche et la mer d'Iroise.

Il était classé par ses gardiens dans la catégorie des « enfers ».

Construction: 1869-1874

Hauteur: 28 m

Elévation: 31 m

Portée: 24,5 milles (45 km)

Feux: 5 éclats blancs, 15 secondes

Optique: Fresnel

Lanterne: halogène 250 W

Automatisation: 1993 (Télécontrolé depuis le phare de l'Ile Vierge)

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Tevennec. Un lit, quatre chaises, un homme

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Brest. Un projet de centre national des phares et balises

Le phare du Petit Minou (29)

Le phare du Petit Minou se trouve en avant du fort du même nom et relié à la terre par un pont en pierre sur la commune de Plouzané.

Le phare du Petit Minou indique aux bateaux désirant se rendre à Brest, la route à suivre pour entrer dans la rade. Il forme un alignement avec le phare du Portzic

Allumé en 1848, il est automatisé en 1989 et télécontrôlé depuis Brest.

Haut de 26 mètres par rapport au niveau de la terre, il atteint 34 mètres au-dessus du niveau des hautes mers.

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L'Emma Maersk en rade de Brest

Le phare du Portzic (29)

Le phare du Portzic a été bâti sur un terrain militaire en 1848.

Sa hauteur au dessus du sol est de 35 mètres et au dessus des hautes mers de 58 mètres.

Le phare du Portzic a été électrifié en 1953 et automatisé en 1984.

Aux portes de Brest, le phare surplombe le goulet et fait face à la Pointe des Espagnols.

Le phare est une tour de forme octogonale, construit en maçonnerie et pierre apparente.

Le phare de Moguériec. Une pétition pour sauver le phare

Hauteur 10 m. Elévation 9 m.

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Moguériec. Une pétition pour sauver le phare

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Mer d'Iroise. Les phares s'éclatent à l'ouest

Le grand phare de l'île de Sein

Le grand phare de l'île de Sein a été construit entre 1950 et 1951. Il succède à un premier phare construit sur l'île de Sein en 1839 mais détruit en 1944 lors de la Seconde Guerre mondiale.

Construction 1951. Hauteur 52,90 m. Elévation 49 m. Portée 29 milles. Inscrit aux monuments historiques en 2015.

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Ile de Sein. Une ferme d'algues au bout du monde

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Phares. Un classement aux Monuments historiques à l'horizon

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Phares. Un raid pour leur sauvegarde

Monuments historiques. 14 phares bretons nouvellement inscrits

Le phare de Nividic

Le phare de Nividic est un phare de France situé au large de la pointe de Pern, à l'ouest de l'île d'Ouessant en Bretagne.

Construction 1912 à 1936. Hauteur 35,55 m. Elévation 30,40 m. Portée 10 milles. Inscrit aux monuments historiques en 2015

Le phare des 7 îles

Le phare des Sept-Îles est situé sur l'île aux Moines, seule île de l'archipel des Sept-Îles où l'on peut débarquer. Il est bâti à côté des ruines d'un fort du XVIIIᵉ siècle dont la fonction était de lutter contre le piratage et la contrebande

Construction 1882 à 1887. Hauteur 20 m. Elévation 59 m. Portée 24 milles. Automatisation août 2007.

Le sémaphore de Ploumanac'h-la Clarté

Situé au-dessus de la corniche, entre La Clarté et Ploumanac'h, le bâtiment occupe un emplacement stratégique avec une vue circulaire.

Le personnel de la marine, chargé de surveiller l'activité marine locale, recueille et transmet les données météo.

Le phare le Grand Légon

Le phare du Grand Léjon se situe en mer à 9 milles au large de Saint-Quay-Portrieux dans les Côtes-d'Armor, à l'extrémité sud du plateau du Grand Léjon. Il indique l'entrée de la baie de Saint-Brieuc.

Construction 1859 à 1881. Hauteur 29,80 m. Elévation 34,60 M. Portée 18milles. Automatisation 1987.

Le phare le Paon

Le phare du Paon est situé sur la roche du Paon au nord de l'île de Bréhat, dans les Côtes-d'Armor au large de Paimpol. Avec le phare du Rosédo, il donne la direction du passage par l'écueil de la Horaine. Détruit en 1944 par les allemands il est reconstrui à l'identique en 1949.

Construction 1860 et 1952. Hauteur 9,50 m.

Le phare les Roches-Douvres

Le phare des Roches-Douvres est un phare français situé sur le plateau des Roches-Douvres, entre les îles de Bréhat et Guernesey, dans la Manche. C’est le dernier phare en mer construit en France.

Construction 1948 à 1954. Hauteur 58 m. Elévation 65 m. Portée 24 milles. Inscrit aux monuments historiques en 2015.

Le phare des Héaux de Bréhat

Construit par l’ingénieur Léonce Reynaud en 1840 sur les récifs des Épées de Tréguier, à la pointe du sillon de Talbert, le phare des Héaux de Bréhat signale l’extrémité ouest de la baie de Saint-Brieuc et balise l’entrée du chenal du Trieux vers l’île de Bréhat, dans les Côtes d'Armor.

Construction 1834 à 1840. Elévation 57 m. Portée 15 milles. Automatisation en 1982. Classé aux monuments historiques en 2011.

Phare les Triagoz

Le phare des Triagoz se dresse sur la roche de Guen-Bras, au centre du plateau des Triagoz dans les Côtes-d'Armor.

Construction de 1861 à 1864. Hauteur 15 m. Elévation 29 m. Portée 14 milles. Inscrit aux monuments historiques depuis 2015. Automatisation 1984.

Le Phare de Pontusval

Le phare de Pontusval est érigé sur la pointe de Beg-Pol, commune de Brignogan-Plages.

Construction 1865-1869. Hauteur 14,50 m. Elévation 18,30 m. Portée 10 milles. Classé aux monuments historiques en 2011.

Le sémaphore de Brignogan

Phare de Kéréon

Kéréon est un phare qui s'élève sur le récif de Men Tensel entre Ouessant et Molène sur le passage du Fromveur en mer d'Iroise.

Construction 1907-1916. Hauteur 48 m. Elévation 44 m. Portée 17 milles. Automatisation 2004. Inscrit aux monuments historiques en 2015.

Le phare de St Mathieu

Le phare de Saint-Mathieu est situé sur la pointe St Mathieu, à Plougonvelin, dans les environs de Brest, dans le Finistère. Le phare fut construit en 1835 dans les ruines d'une ancienne abbaye.

Hauteur 37 m. Elévation 56 m. Portée 29 milles. Classé aux monuments historiques en 2011. Automatisation en 1996.

Phare les Pierres Noires

Le phare des Pierres Noires est un phare maritime du Finistère construit de 1867 à 1871. Il éclaire et sécurise la pointe de Saint-Mathieu et sa chaussée depuis le 1ᵉʳ mai 1872. Il est situé sur la commune du Conquet et appartient à l'État français.

Hauteur 28 m. Elévation 30,50 m. Portée 19,50 milles. Inscrit aux monuments historiques en 2015.

Le phare de Créac'h

Le phare du Créac'h a été construit en 1863 sur l'île d'Ouessant, une des îles du Ponant. C’est le plus puissant d'Europe.

Construction 1863. Hauteur 54,85 m. Elévation 70 m. Portée 32 milles. Classé aux monuments historiques en 2011.

Le phare Ar-Men

Le phare d'Ar-Men est un phare en mer construit entre 1867 et 1881 à l'extrémité de la chaussée de Sein, à la pointe ouest de la Bretagne.

Hauteur 33,50 m. Diamètre 7,20 m. Elévation 29 m. Portée 23 milles. Inscrit aux monuments historique en 2015. Automatisation 1990.

Le phare la Vieille

Vue de la Plate et du phare de la Vieille

Le phare de la Vieille est un phare maritime du Finistère construit de 1882 à 1887 sur le rocher de Gorlebella. Il éclaire et sécurise fortement le passage dangereux du raz de Sein, de concert avec la tourelle de la Plate.

Hauteur 26,90 m. Elévation 33,90 m. Portée 18 milles. Inscrit aux monuments historiques en 2015. Automatisation en 1995.

La tourelle de la Plate est une balise située dans le raz de Sein.

Construction 1893-1896. Elévation 9,5 m. Portée 8 milles.

Le phare des Poulains

Le phare des Poulains, maison-phare, est situé à la pointe nord-ouest de Belle-Île-en-Mer, sur une île rocheuse coupée de l'île principale à marée haute en vives eaux.

Construction 1867. Hauteur 18m. Elévation 34 m. Portée 23 milles. Automatisation 1987.

Le phare de Goulphar

Le phare de Goulphar ou grand phare de Kervilahouen est un phare situé sur la commune de Bangor, à Belle-Île-en-Mer dans le Morbihan.

Construction 1826 à 1833. Hauteur 52,25 m. Elévation 92m. Portée 27 milles. Classé aux monuments historiques en 2011.

Phare la Teignouse

Le phare de la Teignouse est un phare du Morbihan situé entre la presqu'île de Quiberon et l'île d'Houat, sur le prolongement de la pointe du Conguel et l'île d'Houat.

Construction 1843 à 1845. Hauteur 16,35 m. Elévation 19,55 m. Portée 14,5 milles. Automatisation 1983.

Le phare les Grands-Cardinaux

Le phare des Grands Cardinaux est un phare morbihannais. Il a été construit sur le rocher Groguéguez de la chaussée des Cardinaux au sud-est de l'île de Hoëdic. Il signale l'approche de la baie de Quiberon.

Construction 1875. Hauteur 27 m. Elévation 27,8 m. Portée 12,5 milles. Automatisation 1973.

Phare de l'île Wrac'h

Le phare de l'île Wrac'h se situe sur une des îles de l'archipel de Lilia, bourg de la commune de Plouguerneau, dans l'estuaire de l'Aber-Wrac'h. Il est dans l'alignement du phare de Lanvaon.

Le port de l'Aber-Wrac'h existe depuis le Moyen Âge et a un trafic important. Dès son origine, la signalisation du port fut assurée par quatre feux : pour le nord, un sur l'île Wrac'h et un au sommet du clocher de Plouguerneau et pour le sud, deux à Landéda.

Il est construit en granit. Il est entouré d'un petit ensemble de logis, de jardins et de cales qui servaient à la vie quotidienne des gardiens. C'est une tour carrée blanche avec un haut rouge. Il est aujourd'hui automatisé.

Construit en 1845. Hauteur 14 m. Elévation 23 m

Phare Trézien (Plouarzel)

Le phare de Trézien est implanté dans les terres à 500 mètres du rivage et à 1,5 kilomètre de la pointe de Corsen, sur la commune de Plouarzel dans le Finistère.

Construction 1894. Hauteur 37,2 m. Elévation 86 m. Portée 23 milles. Automatisation 1986.

Phare du Stiff (île d'Ouessant)

Le phare du Stiff est un des phares de l'île d'Ouessant en Finistère. Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 12 juillet 2011.

Construction 1695. Hauteur 32,4 m. Elévation 91,8 m. Portée 24 milles. Classé monuments historiques 2011.

Phare de Kerbel (Riantec)

Le phare de Kerbel est situé sur la commune de Riantec dans le Morbihan. Il a été mis en service en 1913 et est d'une hauteur de 30 m. Il faut gravir 125 marches pour arriver au sommet. Il a été électrifié en 1932.

Devenu un gîte il est possible de séjourner dans la lanterne ou dans la maison du gardien en contrebas.

Le phare du Kador à Morgat

Ce phare se situe sur la presqu'île de Crozon, au sommet de la falaise dans l'axe de la poibnte du Kador (Beg ar Gador),au-dessus du port de plaisance et ancien port de pêche (à la sardine et au thon), dont il signale l'entrée.

Construction 1914. Hauteur 15 m. Elévation 77 m.

Phare du Tourlinguet à Camaret

Le phare et le sémaphore

Le phare du Toulinguet se situe à l'extrémité de la presqu'île de Crozon sur la commune de Camaret -sur-Mer.

C'est une maison-phare qui a été bâtie sur la pointe du Tourlinguet en 1848 et a été mise en service en juillet 1891.

Construction 1848. Hauteur 14 m. Elévation 49 m.

Il est bâti sur un terrain militaire de la Marine Nationale, des fortifications construites en 1884 en contrôlent l'accès.

Le feu d'extrémité môle nord du port de Camaret-sur-Mer

Hauteur 7 m. Elévation 7 m.

Le phare de Trévignon (entrée baie de Concarneau)

Ce phare se trouve à la Pointe de Trévignon, sur la commune de Trégunc, dans le sud Finistère.

Construction 1924, en béton armé. Portée 14 milles. Hauteur 8 m.

SNSM Société Nationale de Sauvetage en Mer - Station de Ploumanac'H

Le Télégramme

Phares du Finistère. Un protocole pour leur avenir

Le phare de Ploumanac'h (22)

Un premier phare en granit gris de l’Ile Grande fut construit en 1860 ; il était habité par un gardien.
Détruit par les allemands en aout 1944, il fut remplacé par un nouveau phare en granit rose.

Le phare de Ploumanac’h,dit phare de Mean Ruz (ce qui signifie pierre rouge en breton), est un bâtiment construit en granite rose, qui indique l'entrée de la passe menant au port de Ploumanac'h, sur la commune de Perros-Guirec du département des Côtes-d'Armor, en Bretagne.

Le phare actuel de Ploumanac'h est une tour pyramidale en pierres apparentes de granite rose, de 15 mètres de hauteur.

La hauteur du phare au-dessus de la mer est de 26 mètres et la hauteur de la focale est de 13,50 mètres.

Le fanal est seulement accessible par un pont jeté entre le rocher sur lequel il est érigé et le chaos granitique. Il s'agit d'une tour de forme quadrangulaire destinée à supporter un appareil d'éclairage constitué par une lanterne.