Balade à Brest: La rue St Malo,Pontaniou, la tour Tanguy
Balade à Brest: La rue St Malo, Pontaniou, le plateau des Capucins, l'ancien bagne
La rue St Malo
La rue St Malo est située dans le vallon du Carpon dans le quartier de Recouvrance
Fontaine de la rue St Malo
Le bâtiment aux lions condamne le bas de la rue Saint-Malo qui depuis se termine brusquement en impasse. Des escaliers permettent de rejoindre la rue du Carpon.
C'est une rue pavée dominée par des jardins en terrasse et des maisons datant du 17 ème et 18 ème Siècle.
Elle est longée par le mur du terrain de la Madeleine (couvent où on enfermait les filles de mauvaise vie).
Le site étant devenu une décharge sauvage, les maisons étant dévouées à une démolition certaine, une association "Vivre la Rue" (association loi de 1901) se monta.
Femmes et hommes bien décidés se mobilisèrent pour évacuer plusieurs centaines de tonnes de déchets, de gravats et d'imondices.
Le siège de l'association "Vivre la Rue".
Grâce à la démarche de l'association, la rue est aujourd'hui mise en valeur, reconnue et visitée comme la plus ancienne rue pavée de Brest.
Quand on vient à Brest on prend l'habitude de parcourir le centre-ville et ses grands axes comme la rue de Siam, la rue Jean Jaurès, de faire une petite excursion au port.
Me pojetant de faire des photos du vieux Brest, des sites restants, quelle fut ma surprise en quittant la rue Pontaniou de découvrir, bien encaissée entre maisons et murs, la rue St Malo.
Pensant trouver un tas de ruines sans grand intérêt, une rue surement laissée à l'abandon avec des murs noircis par le temps, une rue jonchée d'imondices, que fut ma surprise d'être acceuili par une belle rue pavée, rafraîchie par une jolie fontaine, dominé par des maisons habillées de murs de pierres sèches, des maisons portant des volets et des portes aux couleurs vives interpelant mon émoi et lui disant" bonjour l'ami, sois le bienvenu".
Ici vu la propreté des lieux on sent le courage, l'envie de réussite, l'envie de se donner les moyens de sauver et de faire revivre une petite partie, une vraiment infime partie de ce qui reste de l'ancienne ville de Brest.
Dans cette ancienne rue, dans ce silence on s'imagine entendre le rire des enfants, le bruit fait par les gens s'activant à leurs occupations.
En venant ici mon coeur a été touché. On ne peut imaginer le travail de ces hommes et de ces femmes qui ont sué à déblayer ces lieux afin de montrer à tous ce que devait être la beauté de l'ancienne ville de Brest.
Un grand merci à ces gens qui savent avec coeur nous replonger dans l'histoire. Merci à "Vivre la Rue".
Angle de la rue Ronchon
L'association Vivre la Rue a ouvert un espace, accessible à tou(te)s,
du lundi au dimanche de 14h à 19h
"Au coin d'la rue"
L'Alternative Sociale et Solidaire
à l'angle de la rue St Malo et de la rue Abbé Rochon
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Un Espace Public Numérique :
4 ordinateurs connectés en libre accès, imprimantes, ... -
Un salon de thés, tisanes, cafés, jus de fruits, soda et cola du Monde,
produits bio et équitables. -
Une épicerie bio-équitable (à manger, à grignoter, à boire...)
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Une p'tite boutique : Cartes postales, badges, DVD films VIVRE LA RUE, CD/DVD des artistes programmés et livres d'écrivains du coin, mais aussi des cadeaux artisanaux à se faire ou à offrir (bijoux, foulards, sacs et porte-monnaies en cuir, bonnets, capelines, guêtres, encens, huiles essentielles, hénné et autres soins du corps naturels...)
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Des livres en libre-échange : Salon de détente pour la lecture, la consultation de brochures et documentations, les jeux traditionnels... Prêt et échange de livres d'occasion, achat possible à prix libre...
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Des expositions d'Art ...(Pris sur le net)
Haut de la rue St Malo
Haut de la rue St Malo
Rue Saint-Malo. Réparer avant le printemps
24 février 2013 - Réagir à cet article
Victime, à plusieurs reprises, de dégradations et d'incendies volontaires, la rue Saint-Malo, à Recouvrance, panse ses plaies avant le printemps et la fête de la Bretagne, les 18 et 19 mai.
« Il y a trois semaines, à 14 h 30, un jour de semaine, nous avons vu s'échapper de la fumée de la maison où nous avions installé cinq toilettes sèches pour les visiteurs de la rue Saint-Malo. On s'est précipités pour éteindre le feu et les pompiers sont intervenus. Ce n'est pas la première fois. Régulièrement, un groupe de jeunes de 15 à 17 ans vient ici et casse des gouttières, des protections de fenêtre, mais aussi saccage des plantes du jardin. La décoration a aussi fait les frais de leurs passages », se désole Mireille Cann, la fondatrice de Vivre la rue qui anime, depuis plusieurs années, la renaissance de la rue Saint-Malo. Hier, les bénévoles ont retroussé une fois de plus leurs manches pour remettre en état les maisons, et notamment les toilettes sèches qui avaient été construites. « Sur les cinq que nous avions, il n'en reste qu'une parce que nous l'avions protégée ».
Travaux de sécurité projetés au lavoir
La nuit, des poubelles remplies de sciures ont été régulièrement incendiées. Le pire a été évité, une nuit où la maison occupée par Mireille Cann aurait pu brûler sans l'arrivée d'une personne, qui a pu éteindre le feu de plastique qui commençait à prendre sur le comptoir. Des pierres de la dernière maison de la rue et même d'un récupérateur d'eau de 500 litres, avec sa gouttière, ont été emportées ! Malgré tout, les bénévoles étaient à nouveau à l'oeuvre, hier après-midi, pour nettoyer les maisons désormais toutes couvertes d'un toit, dégager les décombres et construire de nouvelles toilettes. « Il faut que tout soit prêt pour la fête de la Bretagne qui est programmée les 18 et 19 mai ». Les autres programmations, comme les Petites lessives dominicales, sont en stand-by, dans l'attente des travaux au lavoir. « Nous avons accueilli jusqu'à 1.200 personnes et il faut prévoir des travaux de sécurité, dégager des issues de secours. Une réunion a lieu la semaine prochaine ».
Une terrasse au Coin
Ouvert il y a deux ans, le « Coin d'la rue », en haut de la rue Saint-Malo, abrite espace multimédia, bouquinerie, épicerie, bar sans alcool et, bientôt, la petite boutique qui vendra CD et DVD des groupes venus se produire ici. Des travaux d'accessibilité y sont également prévus, ainsi que la construction d'une terrasse extérieure. Du pain sur la planche, pour les bénévoles invités à se retrouver les deux prochains samedis.
La tour Tanguy
Ancienne bastille des Seigneurs de Quilbignon (XIVème Siècle).
Recouvrance
Maison de la Fontaine, l’une des maisons brestoises les plus anciennes
Eglise St Sauveur déssinée par Frézier. Construite entre 1740 et 1749. Epargnée lors de la Seconde Guerre mondiale elle est la plus vieille église de Brest.
Le jardin des explorateurs
Le jardin des explorateurs
L'ancienne prison de Pontaniou
Rue Pierre Ozanne: l'ancienne prison de Pontaniou ou bâtiment de la Madeleine est un ancien centre de détention de l'arsenal
Construction entre 1809 et 1814. Ne suivant plus les conditions de détention de notre époque elle fut fermée en 1990.
Le plateau des Capucins
Travaux en cours dans le quartier des Capucins
L'église réformée de France rue Voltaire
Paru dans le journal Coté-Brest
Paru dans le journal Coté-Brest
Paru dans le journal Coté-Brest
Paru dans le journal Coté-Brest
Paru dans le journal Coté-Brest
Paru dans le journal Coté-Brest
Paru dans le journal Coté-Brest
Kéroual. Promenade envoûtante dans les bois
Téléphérique. Tout sur le projet retenu
Marché, fêtes et rite de Noël
Plouzané. Le ciel scruté depuis la pointe du Diable
Printemps des sonneurs. Une marée humaine!
Meutres du stand de tir. Une exécution?
Les Capucins. 15 000 Brestois en visite
1749. Un bagne à Brest
Le Télégramme
Suisse. Les cabines du téléphérique brestois presque prêtes
Le Télégramme
Rue de Saint-Malo. Le vandalisme encore au rendez-vous
Les fêtes de Saint-Martin
Coté Brest Hier et aujourd'hui
Les fontaines de Marta Pan, rue de Siam à Brest
Le Télégramme
Pontaniou. L'ancienne prison officiellement à la vente
Le Télégramme
Rue de Siam. L'âme de Brest
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Mireille Cann: "Brest est une ville singulière"
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"Bagne de Brest": 115 auditeurs ont remonté un temps sinistre
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La fanfare de Pierre Péron renaît, rue de Saint-Malo
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Pontaniou: comment attirer "les milliardaires bretons" ?